Création d’un point de restauration sur windows10 :
1-Dans la barre de recherche Windows saisir « créer un point de restauration ».
Ensuite cliquer dessus.
Vous devez bien Sélectionner le disque sur lequel vous voulez créer le point de restauration.
2-Et faites « créer… » Ensuite vous pouvez ajouter une description et puis faites un clic sur « créer » de nouveau puis « fermer ».
3-Vous devrez choisir l‘endroit de sauvegarde il suffit ensuite de faire un double clic sur la sauvegarde pour lancer le processus de restauration. Après la restauration vous perdrez toutes les données prise entre la création du point de restauration et le processus de démarrage du point de restauration.
Si vous avez un projet et que vous souhaitez un accompagnement sur l’évolution de votre parc informatique. Globanet se tient à votre disposition pour vous faire une étude sur mesure. Merci de nous contacter par Email : devis@globanet.fr
1-Vous pouvez commencer par installer Virtual Box en allant sur le site officiel « virtualbox.org. »
2-Vous pouvez ensuite cliquer sur « Download ».
3-Exécuter le fichier « .exe »puis procéder à l’installation.
Ensuite lancer Virtual Box.
4-Sur la page d’accueil vous pouvez créer des machines virtuelles via le bouton « nouvelle ».
5-Ensuite vous pouvez saisir un nom, le type d’OS et la version puis faites créer
Laisser les paramètres par défaut et faites créer de nouveau.
.
Voilà votre machine virtuelle est opérationnelle.
6-Vous pouvez la lancer via le bouton démarrer.
Si aucune iso n’a été mise on vous demandera de la sélectionner au démarrage de la machine comme ci-dessous ou de la charger depuis votre ordinateur suite à cela la machine virtuelle ce lancera.
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Le protocole IPv4 ou Internet Protocol version 4 est la première version
d’Internet Protocol (IP) à avoir été largement déployée, et qui forme encore en
2019 la base de la majorité des communications sur Internet, par rapport à
l’IPv6 qui est en cours de déploiement. Selon IPv4, les adresses IP sont effectivement en nombres binaires sous
forme de 0 et 1. Mais ils peuvent également être écrits comme des nombres
décimaux séparés par un point. Chaque interface d’un hôte IPv4 se voit attribuer une ou plusieurs adresses
IP codées sur 32 bits qui équivaut à 4 octets. Au maximum 4 294 967 296 (soit
2^32) adresses peuvent donc être attribuées simultanément en théorie mais en
pratique, un certain nombre ne sont pas utilisables.
IPv6 :
2 ^ 32 est un grand nombre, mais il ne suffit pas pour
accueillir la population croissante de périphériques connectés à Internet comme
les ordinateurs portables, les tablettes, les smartphones, etc. Par conséquent,
le protocole IPv6 a été créé. Il dispose d’un grand espace d’adressage de 128 bits.
Et le nombre total d’adresses uniques sont 2 ^ 128. Ainsi, la limite des
adresses IP ne va pas être dépassée pendant de nombreuses décennies ou
peut-être des siècles.
L’adresse IPv6 128 bits est un peu différente de
l’adresse IPv4. Chaque groupe est séparé par un deux points ( : ) au lieu d’un
point, il représente 16 bits sous la forme de quatre chiffres hexadécimaux. Les
64 bits de l’adresse IPv6 représentent l’adresse réseau utilisée pour le
routage et les 64 bits restants fournissent des détails sur l’interface réseau
de l’hôte.
IPv4
IPv6
Adresses codées sur 32 bits en
décimal, soit 4,3 Milliard de possibilités.
Adresses codées sur 128 bits en
hexadécimal, soit 1 adresse par millimètre carré…
Utilisation possible de la
fonctionnalité NAT pour étendre les limitations d’adresses (IP
publiques/privées).
Ne supporte pas la fonctionnalité
NAT dans la conception (il y a assez d’adresses disponibles pour tous…).
Les administrateurs doivent
utiliser un DHCP pour attribuer dynamiquement des adresses IP, ils peuvent
également le faire statiquement.
Les hôtes peuvent utiliser l’auto
configuration sans état pour assigner une adresse IP à eux-mêmes. Il est
toujours possible d’attribuer une adresse statiquement ou par le biais d’un
DHCP.
Le support de l’IPSec est un
concept optionnel pour protéger les paquets IP par le biais du chiffrement,
de l’authentification par les pairs, de l’intégrité des données et du système
« antireplay ».
IPSec est supporté nativement par
l’IPv6 mais il n’est pas nécessaire de le configurer pour faire fonctionner
de l’IPv6.
L’en-tête IPv4 contient de
multiples partis.
L’en-tête IPv6 a été simplifié
comprenant des options si des extensions sont nécessaires à l’en-tête.
Utilisation du Broadcast
(Diffusion) pour différentes fonctions comme l’ARP (Address Resolution
Protocol).
Les « Broadcast » ne
sont plus utilisés et sont remplacés par NDP, aussi appelé ND (Neighbor
Discovery Protocol), qui se base sur du « multicast »
(Multidiffusion). ND permet de découvrir automatiquement des adresses réseaux
IPv6 ainsi que d’autres choses comme les routeurs. ND utilise la nouvelle
version d’ICMP (v6) pour exécuter la majeure partie de ses fonctionnalités.
Support des protocoles de
transport (couche 4) TCP et UDP.
Support des protocoles de
transport (couche 4) TCP et UDP.
Support des applications communes
de la couche application (ex : http, ftp…) encapsulées pour les
protocoles de la couche 4.
Support des applications communes
de la couche application (ex : http, ftp…) encapsulées pour les
protocoles de la couche 4.
Support des technologies communes
de la couche liaison de données comme les standards Ethernet ainsi que les
standards WAN.
Support des technologies communes
de la couche liaison de données comme les standards Ethernet ainsi que les
standards WAN.
Une adresse IPv4 est séparée en
deux parties : une partie réseau (partie gauche de l’adresse) ainsi
qu’une partie hôte (partie droite de l’adresse).
Une adresse IPv6 est séparée en
deux parties : une partie réseau (partie gauche de l’adresse) ainsi
qu’une partie hôte (partie droite de l’adresse). En IPv6, la partie hôte est
appelée « host ID ».
Utilisation d’un masque de
sous-réseau en décimales pointées (ex : « 255.255.255.0 ») ou
en notation CIDR (ex : « /24 ») pour identifier la
délimitation entre la partie réseau et la partie hôte.
Utilisation d’un masque de
sous-réseau en notation CIDR (ex : « /64 ») pour identifier la
délimitation entre la partie réseau et la partie hôte.
Conclusion :
Les appareils devront prendre en charge les
protocoles IPv4 et IPv6 jusqu’à ce que l’IPv6 soit omniprésent sur Internet.
Il ne faut
pas nier le fait que l’IPv6 soit meilleur que l’IPv4 dans de nombreux aspects.
Il existe depuis plus d’une décennie. Pourtant, son déploiement n’est pas
facile malgré le fait que l’espace d’adressage IPv4 est saturé. Cela pourrait
être dû à une amélioration constante de l’IPv4, comme le NAT et le CIDR, qui
permettent une utilisation efficace du pool d’adresses IP limité.
De nombreux systèmes de noms de domaine supportent désormais les adresses IPv6. Par exemple, Google DNS public. Selon la visualisation d’adoption d’IPv6 d’Akamai, la Belgique a le taux d’adoption le plus élevé de 50,26%, suivie de la Grèce à 45,01% et de l’Allemagne à 46,21%. Ce nombre augmenterait à l’avenir, car de plus en plus de personnes, d’organisations et de gouvernements prennent conscience des avantages d’IPv6.
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C’est désormais
officiel : le registre RIP-NCC qui alloue les adresses IP en Europe et au
Moyen-Orient annonce avoir attribué les dernières adresses IPv4 de son dernier
bloc d’adresses. L’organisme explique qu’il continuera à recevoir
sporadiquement de nouvelles adresses libérées par leurs utilisateurs, mais leur
nombre ne suffira plus à suivre la demande. Le RIP-NCC exhorte les acteurs du
marché à faire davantage pour accélérer la transition vers IPv6.
La principale
conséquence de cette pénurie d’adresses, dans les prochaines semaines, c’est
que certains internautes pourraient faire l’expérience d’erreurs de
géolocalisation rendant certains sites comme Netflix inaccessibles. Pour éviter
de rencontrer trop de perturbations, les internautes sont encouragés à rendre
leur accès résidentiel, mobile et réseau local compatible avec les adresses
IPv6 de sorte que la transition soit la plus transparente possible.
L’Arcep tirait déjà
la sonnette d’alarme dans la foulée d’un communiqué du RIPE NCC il y a quelques
mois. Le RIPE-NCC expliquait alors qu’il y avait déjà plus de demandes que
d’adresses disponibles : « une fois que nous ne pourrons plus allouer
d’équivalents de blocs de /22 adresses, nous annoncerons que nous avons atteint
une pénurie. Nous nous attendons que cela survienne en novembre 2019 ».
Il n’y a plus
d’adresses IPv4 : passez à IPv6 !
L’Arcep avait
initialement prévu l’arrivée de cette échéance au 7 novembre 2019 : « une liste
d’attente existe permettant de récupérer des adresses IPv4 rendues au RIPE-NCC,
mais peu d’adresses le sont. Internet ne cessera pas de fonctionner mais
cessera de grandir. La transition vers IPv6 est une nécessité vitale ». Utilisé
depuis 1983, le protocole IPv4 peut adresser jusqu’à 4,3 milliards d’utilisateurs,
en comptant les adresses locales que votre routeur résidentiel peut utiliser,
c’est à dire 192.168.xxx.xxx, 172.16.xxx.xxx ou 10.xxx.xxx.xxx.
A l’époque, personne
n’imaginait le succès d’internet tel qu’on le connait aujourd’hui – et ce qui
semblait être un nombre largement suffisant d’adresses a vite révélé ses
limites. Si bien que dès les années 1990, des chercheurs commencent à
développer son successeur, IPv6. Mais le passage à cette technologie est lent,
très lent. IPv6 représente encore une infime partie du trafic internet, malgré
l’urgence de la transition – accentuée par l’arrivée sur le réseau de milliards
d’objets connectés dans les prochaines années.
Pour pallier aux
besoins immédiats, les FAI peuvent partager des adresses IPv4 entre plusieurs
clients. Le problème, c’est que ce partage s’accompagne de limitations.
D’abord, relève l’Arcep, cela rend « complexe le maintien d’IPv4 ». Ensuite,
certains usages d’internet deviennent pratiquement impossibles, en particulier
« le pair-à-pair (ou peer-to-peer), l’accès à distance à des fichiers partagés
sur un NAS (serveur de stockage en réseau) ou à des systèmes de contrôle de
maison connectée, certains jeux en réseau ».
L’autre problème
c’est que cela risque de compliquer certaines actions en justice : « de
nombreuses personnes […] pourraient être citées en procédure alors même que les
enquêteurs ne s’intéressent qu’à un seul suspect », relève Gregory Mounier,
d’Europol, cité par l’Arcep. Enfin, cela peut déboucher sur des situation de géoblocage
inédites : « un opérateur qui achète des adresses IPv4 à un acteur étranger
prend le risque que ses clients soient pendant de nombreux mois localisés hors
de France, bloquant ainsi de nombreux services ».
Pénurie d’adresses
IP : il n’y a plus le choix, il faut passer à IPv6 au plus vite
A ce stade, il n’y a
donc d’autre choix que d’accélérer la transition « quasi-totale » à IPv6. Mais
pour l’utilisateur, c’est encore compliqué. Tous les opérateurs et FAI ne
proposent pas encore, en effet, l’IPv6. Dans d’autres cas, c’est une option
qu’il faut activer. Ainsi, Free, Orange, Coriolis Telecom et Orne THD proposent
déjà l’IPv6 activé par défaut sur les accès fixes. Bouygues Telecom ne le
propose pas encore sur toutes les connexions. Et chez SFR, il faut aller
manuellement l’activer.
Sur mobile, c’est la
même chose : Orange et Bouygues sont les seuls à proposer l’IPv6 – que vous
devez activer dans les paramètres de votre smartphone Android, ou, si vous êtes
sur iPhone, en appelant le service clients. Devant l’urgence, et pour éviter
les problèmes dont nous vous parlons plus haut, l’Arcep a mis en place une «
Task Force » regroupant les FAI, opérateurs, et des entreprises, pour les aider
à accélérer la transition
La téléphonie sur IP consiste à communiquer par la voix via Internet ou sur tout autre réseau acceptant le protocole TCP/IP (Transmission Control Protocol/Internet Protocol). C’est une excellente façon de faire et de recevoir des appels à l’aide d’une connexion Internet à large bande passante.
Elle route les
conversations vocales sur internet ou un réseau informatique, grâce au
protocole IP, en transférant des paquets constituant la voix numérisée sur un
réseau IP vers une application qui effectuera la transformation inverse : des
paquets vers la voix. Il y a deux types
de téléphone sur IP : la VoIP et la ToIP.
2/Qu’est-ce
que c’est la VoIP ?
La VoIP est un système
qui permet de transformer les signaux audio analogiques en données numériques.
Ce n’est alors que la diffusion du flux de la voix sur les réseaux internet.
Elle est notamment présente sur de nombreux ordinateurs, smartphones par
exemple. C’est donc une technologie chargée de transporter la voix sur l’un de
ces réseaux. Pour transmettre les paquets, on utilise RTP qui est un protocole
adapté aux applications qui présente des propriétés en temps réel.
L’objectif de la VoIP est
d’assurer une certaine interconnexion de PABX en encapsulant en parallèle, la
voix numérisée dans des paquets IP. Ils sont ensuite véhiculés au sein du
réseau de données comme des paquets.
Elle peut faciliter des
tâches et fournit des services qu’il serait difficile à mettre en place en utilisant
le réseau RTC (lignes téléphoniques traditionnelles). L’un de ses exemples est
Skype.
3/Qu’est-ce
que c’est la ToIP ?
La ToIP est la téléphonie
sur IP qui permet de transmettre des communications vocales à travers des
réseaux IP. Elle donne accès à des fonctions et des applications qui permettent
l’amélioration de la productivité de l’entreprise. C’est aussi une technologie
qui contribue au processus de décloisonnement. Elle permet d’associer un
utilisateur à une URI SIP et peut s’utiliser sur un ordinateur relié au réseau
internet, se rajouter en plus sur un réseau téléphonique traditionnel existant
avec une passerelle, s’utiliser en multi-sites à l’aide d’un opérateur adéquat
par exemple.
L’objectif de cette
solution est d’offrir des services de téléphonie classique en apportant aux
utilisateurs une qualité de service. Ainsi, en offrant la possibilité de faire
circuler les communications voix sur les réseaux de données, la ToIP met un
terme à la cohabitation entre deux réseaux distincts.
Pour que la ToIP puisse
fonctionner, elle a besoin de postes téléphoniques IP, d’un standard
téléphonique IPBX, d’une passerelle IP qui établira la liaison au réseau de
téléphonie fixe. La ToIP est vu comme un routeur qui crée une connexion entre
le réseau LAN et le réseau WAN. Cette technologie permet donc d’utiliser une
infrastructure existante de réseau IP pour raccorder des terminaux IP.
Pour supporter la ToIP,
un serveur qui possède une adresse MAC est réservé à l’hébergement d’un
logiciel de téléphonie qui gère un ensemble d’appels. Le serveur est ici équipé
d’une carte réseau puisqu’il a besoin d’une adresse MAC.
Utiliser la ToIP c’est
acquérir du matériel tel que des cartes (exemple SIP), des équipements réseaux,
serveur IPBX, terminaux téléphoniques, opérateurs SIP qui vont permettre
d’acheminer les appels entrants et sortants.
ToIP est constitué de
plusieurs architectures à savoir : Une architecture Full IP, une architecture
hybride et l’architecture centrex.
Le premier est basé sur
deux modèles, la voice gateway située à l’exterieur de l’entreprise et une
autre, à l’interieur de l’organisation. Ici, toute la téléphonie est véhoculée
sur le réseau de l’entreprise à partir des IP Phones.
Le second, à savoir
l’architecture hybride, repose sur un principe : utiliser la ToIP que lorsque
vous souhaitez communiquer des systèmes classiques entre eux. On retrouve ici
le PABX traditionnels. De surcroît, cette architecture se base également sur
deux autres types d’architecture hybride, dans le cas où la ToIP est utilisée à
des fins téléphoniques entre différents sites d’une entreprise, et l’autre
concerne le cas où la ToIP sert à accéder aux réseaux téléphoniques publics par
le biais d’un fournisseur ToIP.
Enfin, la troisième
architecture, l’architecture Centrex repose sur le fait que toute la téléphonie
est assurée par des téléphones IP qui sont reliésau réseau. Le proxy SIP et la
voice gateway n’appartiennent, ainsi, plus à l’organisation mais à l’opérateur
Centrex. C’est un opérateur externe.
Concernant la VoIP, elle ne contient pas les mêmes
besoins que la ToIP. Elle aura notamment besoin d’un adaptateur IP, d’un
centrex IP et d’un auto-commutateur.
4/Quelle
est la différence entre la ToIP et la VoIP?
La ToIP se limite au réseau IP local
tandis que la VoIP, elle, exerce son action sur les transmissions de signal
vocal entre une entreprise et un opérateur téléphonique.
Ils possèdent tous deux
un langage commun qui leur garantie une certaine interopérabilité à savoir, le
SIP (Session Initiation Protocol).
Ici, le fonctionnement
est simple, la voix est transformée en données par le biais d’un protocole IP
qui circulent ensuite à partir d’un réseau web, puis retranscrites en voix à
l’interlocuteur. La VoIP s’appuie sur cet enchainement-là alors que la ToIP
constitue, quant à elle, une autre catégorie de communications. Elle regroupe
tous les échanges de téléphone à téléphone. La ToIP repose plutôt sur les
communications vocales qui sont converties en paquets de données.
La VoIP est importante
dans le sens où les protocoles IP fonctionneront correctement sur n’importe
quel type de réseau.
Ces deux solutions
s’appuient sur deux types de paramètres, l’IPBX et la VoIP Centrex.
5/Quelles
sont leurs avantages et leurs inconvénients ?
Pour les VoIP :
Les
avantages
Les
inconvénients
Plus
rapide à mettre en œuvre.
l’ouverture
des lignes entraîne des frais d’installation
Facile
à mettre en place.
Flexible.
Obligation
de s’abonner puisque chaque ligne fait office d’abonnement
Economiser
parce qu’il y a une réduction des frais de téléphone.
Maintenance
et gestion transparentes.
Un
réseau moins sécurisé
Réduction
également de la vidéoconférence.
Vous
pouvez gérer le réseau en temps réel.
Sa
fiabilité
Collaboration
en temps réel et facilitée.
La
téléphonie est centralisée.
Sa qualité de communication, de voix
Elle
octroie des fonctionnalités à haute valeur ajoutée.
Facilité
l’administration puisque toutes les installations sont hébergées chez un
opérateur.
Pour les ToIP :
Les
avantages
Les
inconvénients
Réduit
les coûts de la téléphonie mais aussi de l’infrastructure
Technologie
émergente puisque celle-ci n’étant pas encore mature
Réduction
des frais de câblage
Réduction
des frais d’administration du réseau
Qualité
de la retransmission qui est mauvaise
Flexible
Permet
d’améliorer la productivité d’une entreprise
Peut
causer des problèmes de latence
Standards
ouverts et interopérabilité multi-fournisseurs
Dépend
de l’infrastructure
Architecture
réseau et maintenance simplifiées
Des
morceaux de conversation peuvent manquer parce qu’il est possible que des
paquets se perdent pendant le transfert
Téléphonie
gérée comme un réseau
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La prise en charge de Windows 7 prendra fin le
14 janvier 2020
Microsoft s’est engagé à assurer pendant 10 ans le support de Windows 7, lors de sa parution le 22 octobre 2009. À la fin de cette période de 10 ans, Microsoft cessera de prendre en charge Windows 7 afin de consacrer ses investissements à la prise en charge de nouvelles technologies et de nouvelles expériences. Cependant, si vous avez besoin de support supplémentaire après cette date, vous pouvez envisager de faire appel à un ghostwriter schweiz pour vous aider à gérer votre transition vers un nouveau système d’exploitation. Le jour de la fin de la prise en charge de Windows 7 sera précisément le 14 janvier 2020, vous aurez ce message sur votre écran :Regenerate response
Chaque version
de Windows possède un cycle de vie. Le cycle de vie commence lorsqu’un
produit est mis sur le marché et s’arrête lorsque son support n’est plus
assuré. Les dates clés du cycle de vie vous permettent de savoir quand
effectuer une mise à niveau ou d’autres modifications relatives à votre
logiciel. Le tableau ci-dessous regroupe les fin de support selon les version
de Windows :
Systèmes d’exploitation clients
Dernier Service Pack ou dernière mise à jour
Fin du support standard
Fin du support étendu
Windows XP
Service Pack 3
14 avril 2009
8 avril 2014
Windows Vista
Service Pack 2
10 avril 2012
11 avril 2017
Windows 7
Service Pack 1
13 janvier 2015
14 janvier 2020
Windows 8
Windows 8.1
9 janvier 2018
10 janvier 2023
Windows 10, lancé en juillet 2015
Non applicable
13 octobre 2020
14 octobre 2025
Sans le support Microsoft, vous ne recevrez plus les mises à jour de sécurité qui permettent de protéger votre PC des virus dangereux, logiciels espions et autres logiciels malveillants susceptibles de voler vos informations personnelles.
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